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South African singer songwriter Nomfusi releases her single “IQAQA”on 25th June 2021

19 Juin 2021 , Rédigé par www.afrocultureblog.com Publié dans #music, #nomfusi, #artist

South African singer songwriter Nomfusi releases her single “IQAQA”on 25th June 2021

IQAQA is the first single from Nomfusi’s forthcoming album which will be released later in August 2021. It is a song about a love relationship. The Xhosa idiom “Iqaqa aliziva kunuka” means “the skunk does not smell itself” which refers to the fact that people often are unable to recognize their own faults. The song highlights this in a playful way. IQAQA is driven by danceable Afro Pop sounds with a strong vocal performance, melodic guitar riffs and groovy drums. Nomfusi ́s songs are mostly inspired by stories from her life.
IQAQA was written during an European tour in the mountains of Austria, when she was going through an argument and conflict with her partner. Away from her relationship frustration, she created a fictional story line of a woman leaving her relationship because of a man being too much of “Iqaqa". Also Nomfusi loves using Xhosa clicks as much as possible in her writing as part of preserving the Xhosa language.
Together with the single release, here is the official music video for IQAQA, which was shot in Brixton, a historically rich district in the heart of Johannesburg and at the legendary Roving Bantu venue. A social media campaign is also launched with IQAQA dance challenges, as well as IQAQA merchandise range and radio promotion in South Africa and Germany. The song was recorded in Johannesburg within the album recording process.

Click below to save or buy IQAQA by Nomfusi.

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Our new generation of girlpreneurs

19 Juin 2021 , Rédigé par www.afrocultureblog.com Publié dans #ENG, #afroculturekidz, #author, #UK

Kemi and Kiisha, founders of Kishem

Kemi and Kiisha, founders of Kishem

Kemi and Kiisha Oguntayo love arts and crafts, baking, playing dress up and reading!  They were 4 and 6 years old when they created the brand Kishem with the support of their parents in Summer 2016. They had the idea to create the Kishem colouring book after asking their mum and dad why there weren't colouring books with all types of children who look like them or their friends in school. Their Dad said "girls, problems are meant for solving" so they decided to try making their own.

"We wanted the book to have different types of children who are all talented and unique. It was also important to make it more than just a colouring book so after creating and naming each character, we added short stories about them, what they enjoy doing and what they aspire to be so that other children reading can get inspired too" say the girlpreneurs.

The characters in Kishem's storybooks are powerful, talented, creative, entrepreneurial girls.

- Zhen is a photographer and you get to see her editing in her studio

- Mya is good at cooking

- Kishem loves karate and sports

- Eve is a great swimmer

- Ruby makes jewellery

- Amor loves technology

..... and so on and so forth!!!

To date, Kishem is well on course. Kemi and Kiisha have been able to show their books in UK schools, shipped their books to America and had requests from Africa. Their multicultural characters offer representation for every girl and ethnic group represented in Western schools nowadays.

Click below to see their interview with Elsa, Afroculturekidz presenter, couple of years back.

 
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ORGANISATION DU FESTIVAL INTERNATIONAL DE LA MUSIQUE DE OUAGADOUGOU (FESIMO)

16 Juin 2021 , Rédigé par www.afrocultureblog.com Publié dans #musique, #thomassankara, #FR, #burkina faso

Le choc des stars en 1986 au Burkina Faso

Le choc des stars en 1986 au Burkina Faso

Le président Thomas Sankara s'était passionné de musique toute sa vie. Le voici ci-dessus en 1986, au Burkina Faso, entouré de la légendaire chanteuse sud-africaine Miriam Makeba et de la chanteuse congolaise Tshala Muana à sa droite ainsi que de la chanteuse malienne Nahawa Doumbia et la chanteuse ivoirienne Nayanka Bell à sa gauche. Cette photo a été prise lors du concert des musiciennes africaines appellé 'choc des Stars'.

Mais Thomas Sankara avait des projets à bien plus grande envergure. Avec Moustapha Thombiano, le fondateur de la 1ère radio libre sur le continent et décédé en 2020, ils avaient pour objectif de fonder le FESIMO, l'organisation du Festival International de la musique de Ouagadougou. Cet évènement devait réunir les grands groupes et artistes musiciens de la planète. Dans le spot qui avait déjà été conçu et diffusé, on avait qualifié ce rendez-vous d'audace du siècle, d'un 'Woodstock Africain' pour égayer une jeunesse désemparée.

Pour ceux d'entre nous trop jeunes pour avoir entendu parlé de Woodstock, c'était un festival de musique qui a eu lieu en 1969 aux Etats-Unis, et qui a réuni un demi-million de jeunes hippies et autres sur 3 jours avec un succès retentissant, alors que seulement 50000 billets avait été mis en vente, le festival ayant pris une toute autre tournure que celle imaginée par les organisateurs, certes dans la paix et la fraternité.

Nous souhaitons à cette nouvelle génération de reprendre le flambeau.

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LAKOU MIZIK ET JOSEPH RAY PRESENTENT LEUR PREMIER SINGLE 'OGOU (PRAN KA MWEN)'

7 Juin 2021 , Rédigé par www.afrocultureblog.com Publié dans #musique, #FR, #lazoumizik, #haiti

LAKOU MIZIK ET JOSEPH RAY PRESENTENT LEUR PREMIER SINGLE 'OGOU (PRAN KA MWEN)'

Le groupe emblématique haïtien Lakou Mizik et le producteur de musique electro Joseph Ray partagent leur premier single Ogou (Pran Ka Mwen), partie intégrale de leur projet vidéo "Leave The Bones". Le morceau est disponible sur toutes les plateformes via Anjunadeep dès maintenant.

Lakou Mizik et Ray présentent en avant-première le premier single de l’album, 'Ogou (Pran Ma Kwen)', nous donnant un aperçu de l'album qui sortira le 6 août. Caractérisé par des cordes vibrantes, des rythmes haïtiens traditionnels et un refrain jubilatoire, « Ogou (Pran Ka Mwen) » est un appel passionné à l’esprit vaudou du fer et de la guerre pour demander sa protection contre la brutalité des batailles quotidiennes de la vie - « Ogou, vous m’avez amené ici, prenez soin de moi. »
Depuis sa création, Lakou Mizik a cherché à redéfinir les conceptions d’Haïti à travers sa musique. Le groupe de neuf musiciens, formé en 2010, est emblématique du melting pot qu’est la culture musicale d’Haïti. La figure de proue de Lakou, Sanba Zao, l’un des dix seuls poètes originaux de Sanba à rester, a joué un rôle central dans le mouvement rasin (racines) d’Haïti des années 1980 qui cherchait à réinventer la musique vaudou haïtienne traditionnelle par une expérimentation radicale avec des instruments modernes. Cet esprit de la riche histoire musicale d’Haïti est aussi celui de Lakou Mizik aujourd’hui; un ensemble multigénérationnel mélangeant les genres qui joue de la musique traditionnelle haïtienne avec une énergie punk et un sens profond de leur héritage. Leave the Bones brosse un portrait musical, un nouvel aperçu d’un pays souvent mécompris. À travers des chants vaudou, des airs de danse Rara et des chansons de protestation contemporaines, le disque transmet l’auditeur au cœur spirituel d’Haïti, un endroit qui reste un mystère pour les étrangers et une source de fierté pour chaque Haïtien. Peu d’albums parviennent à évoquer un temps et un lieu avec un effet aussi surprenant que cet improbable collaboration   entre le groupe haïtien multigénérationnel Lakou Mizik et l’artiste Joseph Ray, lauréat d’un Grammy. Bien que possédant une rythmique  universelle, Leave the Bones est empreint d'une signification et d'une profondeur uniques à Haïti.

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Du soleil couchant aux Champs Elysées!

1 Juin 2021 , Rédigé par Caro Sika Publié dans #patrimoine culturel, #carosika, #afroculture, #FR, #champselysées

Photo crédit: Pascal Blondé

Photo crédit: Pascal Blondé

Cette semaine, dans la rubrique 'Patrimoine Culturel', nous vous invitons à explorer avec nous les origines africaines des Champs Elysées de par des faits anthropologiques et culturels.

Avant de rentrer dans le vif du sujet, vous avez probablement tous entendu parler de Stonehenge, une des structures mégalithiques les plus célèbres au monde, située en Angleterre. Elle date du IIIème millénaire avant J.C et pour ceux qui aiment l’anthropologie, elle nous renseigne sur l’ancestralité africaine des peuples 'européens'. Je choisis de mettre l’Europe entre guillemets dans ce contexte puisqu'elle est née d'une volonté politique et non d'une séparation continentale puisque, strictement parlant, le territoire qu'on appelle Europe n'est pas un continent au sens propre puisqu'il partage la même surface émergée du globe que l'Asie (souvent référé à mineur) sans frontières naturelles terrestres, telles la mer ou l’océan. Le continent africain est également le continent le plus proche du territoire européen ce qui, bien naturellement, nous renseigne sur les échanges culturels de ces peuples depuis la génèse des temps. À cet effet, une des plus belles découvertes est le site archéologique de Nabta Playa, en Egypte du sud, à environ 1000km de Khartoum, Soudan. Nabta Playa date du 9ème millénaire avant notre ère et on y a découvert les premiers alignements mégalithiques témoignant de la connaissance astronomique des sociétés africaines de l’époque, précédant de 6000 ans Stonehenge ou des sites semblables en Bretagne par exemple. Les mégalithes étaient majoritairement des arrangements funéraires qui renvoient à la continuité et l’éternité et qui nous rendent une belle image de la conception africaine de l’au-delà. Mais de manière plus évidente, c'est la preuve incontestable que ce savoir-faire et la croyance qui l'accompagne ont voyagé et inspiré d'autres civilisations au cours des siècles et millénaires.

Le site de Nabta Playa, Egypte Antique

Le site de Nabta Playa, Egypte Antique

Qu'en est-il des Champs Elysées et quels liens avec l' Afrique?
Quand bien même, l’histoire des mégalithes est fascinante, l’origine des Champs Élysées est époustouflante quant à l’humanité de l’Afrique Antique.

Il fut un temps, à l'époque des premières dynasties égyptiennes où un dicton nous affirme que 'l'habitant de l'Europe était un des fils de Ménès'. Ménès est une appellation grecque pour le 1er pharaon de la période Thinite qui est identifié au pharaon Narmer, le premier à unifier la Haute et Basse Egypte. À cette époque, les pharaons égyptiens exerçaient un pouvoir politique sur une vaste zone géographique et les guerriers des régions administrées allaient combattre pour les dynasties égyptiennes. Ces guerriers, tués au service de l'Egypte et devenus héros sur le champ de bataille, étaient incinérés ou préparés, puis confiés à des fonctionnaires spéciaux, grands maîtres des cérémonies funèbres qui les rapatriaient sur leur terre natale. Les mânes des héros naviguaient alors sur l'océan, « vers les portes du soleil » (soleil couchant) conduites par voie maritime par un haut-fonctionnaire et convoyeur des cendres à leurs demeures finales. En Egypte, ces demeures se nommaient Champs d'Alou. Ils étaient nommés après la plante qui couvrait ces champs, traduit Ely en grec et qui avec le suffixe Sium a donné le nom d'Elysium, d'où Champs Elysées en français. Les champs Elyséens de l'Atlantique, nés du retour des cendres de ceux devenus héros, étaient donc des lieux de sépulture ou actuels cimetières.

Selon  Ch. Hirmenech, dans son essai historique sur les Champs Elysées de l’Antiquité, le haut fonctionnaire qui ramenait les cendres sur les terres natales a des similitudes intéressantes avec Ulysse, (Odusseus) de la mythologie grecque et de son Odyssée à l'image du retour maritime d'après-guerre. Elle suggère également que ce haut fonctionnaire correspondrait au Dis Pater des Celtes Gaulois en opposition au Dispater romain,  qui signifiait ‘Père’ et qui témoignait de leur reconnaissance envers celui qui ramenait pieusement les restes mortels de leurs enfants. Selon Jules César, les Celtes Gaulois se réclamaient d'ailleurs 'd'être issus de Dis Pater' et de la tradition qu'ils disaient tenir des druides de mesurer le temps, non par le nombre des jours mais par celui des nuits à l'instar des peuples africains.
Les cendres de ses héros naviguaient donc vers les villes portuaires telles Lixus (dans l’actuel Maroc), Cadix (en Espagne), la Lusitanie (actuel Portugal), la Bretagne, et aussi l'Irlande et régions voisines (Stonehenge prend alors tout son sens). Pour accéder à l'intérieur des terres et y transporter les cendres, des villes portuaires étaient assignées dans chaque zone pour en assurer le transport terrestre, telle la ville de Lisbonne anciennement Olissipo qui, d'après la tradition populaire, aurait été fondée par Ulysse, ou la ville d’Aiguës-Mortes en France par exemple:

« Aiguës-Mortes, avant l'ère chrétienne, se trouvait sur le bord de la mer, c'est connu ; donc Mortes n'a pas la signification qu'on lui attribue, puisqu'à cet endroit les eaux n'étaient pas mortes ou dormantes dans l'antiquité. D'autre part, le mot Aiguës n'est pas d'origine latine, mais bien d'origine grecque et celtique, dont au contraire s'est formé le latin. Le mot Mortes étant sans application dans le sens que l'on sait, je lui restitue sa véritable signification, en traduisant Aigues-Mortes par eaux des morts ou eaux mortuaires ». CH. Hirmenech, Essai historique sur les Champs Elysées de l'Antiquité

Ce concept de ‘Champs Elysées’ perdurera dans la Grèce Antique mais elle n’en est pas à l’origine. Les Champs Elysées deviendront dans la mythologie grecque le lieu doux et agréable réservé aux héros ainsi qu’aux âmes vertueuses.
Qu'en est-il des Champs Elysées actuels?
Pour ce qui est des Champs Elysées que l’on connait, c’était à la base une zone marécageuse, qui nous rappelle la présence du fleuve ‘Seine’ qui se jette dans la Manche à proximité et nous renvoit aux champs d'Alou du Nil en Egypte Antique. C’est, tout d’abord, Marie de Médicis qui décidera de l’aménager pour prolonger ‘le jardin des tuileries’. Au cours des siècles, l’avenue se verra progressivement évoluée, réaménagée jusqu’à ce qu’elle devienne une des plus illustres attractions touristiques parisiennes. C’est intéressant d’observer que le 15 décembre 1840, le retour des cendres de Napoléon 1er s’effectuera par l’avenue des Champs Elysées, sur un char funèbre, vers les Invalides pour son inhumation devant 100 000 spectateurs. C’était en effet sa volonté d’être inhumé sur les bords de la Seine.

"Je désire que mes cendres reposent sur les bords de la Seine, au milieu de ce peuple français que j'ai tant aimé". Napoléon Bonaparte, Testament de l'Empereur, 16 avril 1821
La pensée africaine de l'au-delà
L’ Afrique, berceau de l’humanité, et sa pensée philosophique a encore beaucoup à nous apprendre et nous avons énormément à nous réapproprier. Le sacré de la vie au cœur des civilisations africaines antiques est remarquable et la notion du repos éternel de l’âme est remplie de dignité et d’émotion. Penser que de hauts fonctionnaires exerçaient la fonction de ramener ceux tombés sur le champ de bataille sur leur terre natale, près de leur famille, nous remplit d’humilité car le voyage n'est pas ce que l'on conçoit de nos jours. La durée du voyage se chiffrait en années et non en semaine et le coût était colossal. Il n'en reste pas moins que le repos de l'âme était crucial et sacré, quitte à traverser le globe. Chez la plupart des africains, cette pratique perdure jusqu’à maintenant et les corps des âmes transposés ou leurs cendres sont souvent rapatriés dans leur pays d’origine pour y regagner leur demeure familiale car comme le dirait le poète et conteur sénégalais Birago Diop « les morts ne sont pas morts ». Les anciens du monde visible et invisible ont toujours leur place parmi nous.

« Dans le lit et sur les rives du Fleuve,
Des Souffles qui se meuvent
Dans le Rocher qui geint et dans l’Herbe qui pleure.
Des Souffles qui demeurent
Dans l’Ombre qui s’éclaire et s’épaissit,
Dans l’Arbre qui frémit, dans le Bois qui gémit
Et dans l’Eau qui coule et dans l’Eau qui dort,
Des Souffles plus forts qui ont pris
Le Souffle des Morts qui ne sont pas morts,
Des Morts qui ne sont pas partis,
Des Morts qui ne sont plus sous la Terre. »

Extrait du Souffle des ancêtres de Birago Diop
Du soleil couchant aux Champs Elysées!
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DEBUT SINGLE 'OGOU (PRAN KA MWEN)'

30 Mai 2021 , Rédigé par www.afrocultureblog.com Publié dans #music, #afroculture, #ENG, #lazoumizik, #haiti

  LAKOU MIZIK AND JOSEPH RAY   SHARE DEBUT SINGLE 'OGOU (PRAN KA MWEN)'  FROM NEWLY ANNOUNCED JOINT ALBUM 'LEAVE THE BONES'

LAKOU MIZIK AND JOSEPH RAY SHARE DEBUT SINGLE 'OGOU (PRAN KA MWEN)' FROM NEWLY ANNOUNCED JOINT ALBUM 'LEAVE THE BONES'

Iconic Haitian Band Lakou Mizik and electronic producer Joseph Ray share the debut single Ogou (Pran Ka Mwen) from their forthcoming project Leave The Bones. The track is available on all platforms via Anjunadeep now. 

 

Lakou Mizik and Ray premiere the album's debut single, 'Ogou (Pran Ma Kwen)', giving a telling look at what's to come. Characterised by vibrant strings, traditional Haitian rhythms and a jubilant chorus, 'Ogou (Pran Ka Mwen)' is an impassioned plea to the Vodou spirit of Iron and War for protection from the brutality of life's daily battles - "Ogou, you brought me here, take care of me." Since its inception, Lakou Mizik has sought to re-define people's conceptions of Haiti through its music. The nine piece band, formed in 2010, is emblematic of the melting pot that is Haiti's musical culture. Lakou's figurehead, Sanba Zao, one of only ten original Sanba poets left, played a central role in Haiti's Rasin (roots) movement of the 1980s which sought to re-imagine traditional Haitian Vodou music through radical experimentation with modern instruments. This spirit of Haiti's rich musical history underpins Lakou Mizik today; a multi-generational genre-blending ensemble that plays traditional Haitian music with a punk energy and a deep sense of their heritage. 

 

Leave the Bones paints a musical portrait, a fresh glimpse of an oft misrepresented country. Through Vodou chants, chest-pounding Rara dance tunes and contemporary protest songs, the record conveys the listener to Haiti's spiritual heart, a place that remains a compelling mystery for foreigners and a source of pride for every Haitian. Few albums manage to evoke a time and place with such startling effect as the unlikely collaboration Leave the Bones (out August 6th), between the multi-generational Haitian band Lakou Mizik, and Grammy-winning electronic music artist Joseph Ray. Leave the Bones is a record that sounds like it could come from nowhere else, and while its rhythms undoubtedly possess a universal danceability, their meaning and depth are also unique to Haiti.

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New single SUBIRA by Siti and the Band

30 Mai 2021 , Rédigé par www.afrocultureblog.com Publié dans #music, #afroculture, #ENG, #subira, #zanzibar

The new sounds from Zanzibar are as fresh as they could be, be it the sparkling Qanun, the vibrant violin or the powerful and bright voice of Siti Amina, let yourself be taken away into a journey to the magical Island!

New single SUBIRA by Siti and the Band

Siti & The Band are releasing their new single and music video for the romantic love song “Subira” on the 28th of May 2021. ”Subira” is the first single from their forthcoming second studio album.

Zanzibar’s music history has been determined by female voices –from Siti Binti Saad to Bi Kidude, they have always been a trajectory for female emancipation and empowerment over the past decades.

Translating the traditional music into the modern times, Siti & The Band beautifully crafts the sounds of the new generation. In “Subira” it molds into unique afro-arab grooves, led by powerful vocals, the sparkling sounds of the Qanun and sweet responses by the Violin.

The message calls for our patience – in relationships and in our personal lives. Siti Aminais, the lead singer of the band is a role model for many young African women, determined to be all they can be.

After touring from East to West and from North to South with their first album “Fusing the Roots”, Siti & The Band utilized the pandemic to get back into the studio and record their second album. The stories and experiences from the Felabration Festival in Nigeria, Visa for Music in Morocco, Capital Nights in Sudan, IOMMA in La Reunion, ACCES in Nairobi and many other places are still alive and keep on influencing their musical journey and creative delivery.

Watch their new music video below and experience the island's magic.

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Mamadou Diabaté, balafoniste burkinabé

29 Mai 2021 , Rédigé par www.afrocultureblog.com Publié dans #mamadoudiabaté, #carosika, #FR, #musique, #patrimoine culturel, #burkinafaso, #afrique, #artiste

Mamadou Diabate, né en 1973 au Burkina Faso, est le descendant d'une famille de musiciens Sambla. À l'âge de huit ans, il commence sa formation auprès de balafonistes connus de peuples voisins et remportera son premier prix en 1988 dans le groupe de son père. Depuis ses débuts, Mamadou Diabaté a publié 13 CDs avec ses propres compositions et 2 autres avec de la musique authentique des peuples Sambla et Tusia (tous deux en première mondiale). En 2016, il est fait chevalier de l'ordre national du Burkina Faso et reçoit en 2019, le prix du «Meilleur artiste international» du Burkina Faso.

Mamadou commence sa carrière dès son plus jeune âge, à cinq ans lorsqu'il reçoit des leçons de musique de son père, Penegue Diabate. Son père était un joueur de balafon célèbre, bien au-delà des frontières de la culture Sambla. Mamadou Diabaté persévère dans l'apprentissage du balafon durant son adolescence et remporte le premier prix de la Semaine nationale de la culture (SNC) au Burkina Faso dans le groupe de son père. En 1998, il remporte également le premier prix de la Semaine nationale de la culture (SNC) au Burkina Faso mais cette fois-ci, avec son propre groupe Landaya.

En 2000, il s'installe à Vienne, en Autriche, où il vit jusqu'à maintenant, et fonde en 2006 le groupe "Percussion Mania" avec lequel il tourne et joue à l'international.

En 2011, il remporte le World Music Award autrichien avec son groupe "Percussion Mania" et en 2012, le Grand Prix du "Triangle du Balafon" à Sikasso au Mali. Pour son jeu de balafon, il reçoit également le «Prix Alkaly Camara de la virtuosité».

Dans le cadre de sa vie personnelle, Mamadou Diabaté estime qu'il est important de pouvoir contribuer à l'essor de son pays natal le Burkina Faso et il y a construit une école primaire où les enfants pauvres reçoivent un enseignement gratuit.

Pour en découvrir plus sur l'histoire du Balafon et de la culture Sambla, ainsi que sur le parcours de Mamadou Diabaté, cliquez sur l'interview ci-dessous réalisée au Jazz Café, à Londres, lors de son dernier passage.

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Author and Self-Love Advocate Tene Edwards

29 Mai 2021 , Rédigé par www.afrocultureblog.com Publié dans #poetry, #author, #afroculture, #teneedwards, #carosika, #2021, #ENG, #queenonamission, #uk

Author and Self-Love Advocate Tene Edwards

For 27-Year-Old Tene Edwards, it all started on Instagram. “I was broken, my heart was aching, and I completely lost myself. I always used to be the girl who smiled regardless of what was happening in my life but after that heartbreak, I just didn’t know how to smile anymore. I remember when I was on my way home from seeing the guy who was really hurting me and my face must have looked so distressed because a stranger said to me “smile. You are beautiful you know. You should smile.” I think this played on my mind during my train journey home and I knew from that moment that I needed to find a way to pick myself up and I can’t remember how long after, but sometime after I began to journal and I found healing in my writing as I faced my emotions.

Tene then decided to share her words with the world and created an account on Instagram called quotepotion which helped her discover that there were many other people experiencing the same emotions as she was. “I built my organic following online using my phone by engaging with people who followed and commented on the inspirational posts of accounts that had larger audiences than mine, this drew them to checking out my page and some following. I did this for hours on end to begin with and found that people were really able to resonate with my words. I then started to search via hashtags that were relevant to my writings and engaged with people there. I also asked the larger accounts to repost my words, some did this for free while other accounts charged”.

I self-published Walk With Wings to begin with as I wanted to give my readers something that they could hold and make their own. I also saw this as an opportunity to monetise my passion of writing and was very keen to do this after reading a ton of self-help books that consistently screamed “do what you love, and you will never work a day in your life”. I wrote the content out on Word and searched for an illustrator, editor and book designer to help me with the layout of the inside of the book on the copyright pages of other books that I liked. I then uploaded the documents onto CreateSpace (now KDP).

Tene contacted The Good Quote to ask if they could share some of her words on their account and before you know it, she was having a meeting with them in Joe & The Juice about Walk With Wings and the rest is history. Walk With Wings has reached the hands of thousands and thousands of people worldwide and Tene’s words have been shared by household names and celebrities including, Kandi Burruss, Wesley Snipes, Dascha Polanco and Khloe Kardashian.

Social media is a powerful place; I practically built my brand on there. Anybody can. I think a lot of people are underutilising it, including myself to be honest when we should really be making the most out of it, being a free platform to advertise. I don’t think advertising can get any easier and cheaper than this.”

Click below to watch one of Tene Edwards latest interview by Gin and Gist:

 

Our cultural mediator, Caro Sika, showcasing Walk with Wings by Tene Edwards:

Author and Self-Love Advocate Tene Edwards
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Paulette Simpson, one of the most influential Jamaican executive in the UK

21 Mai 2021 , Rédigé par www.afrocultureblog.com Publié dans #paulettesimpson, #blacklegacy, #moneymob, #paulmuhammad, #ENG, #uk, #jamaica

Photo source: web

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Paulette Simpson is an extremely influental Jamaican lady who wears many hats. She is well known as the Executive Director of the Voice Newspaper (subsidiary of the JN Group), a Black-owned newspaper that has served the Black British community for over 35 years but not only. Paulette Simpson is also the Deputy Chief Executive Officer - Corporate of Affairs of JN Bank Limited in the United Kingdom, Britain's first Caribbean-owned bank and the Deputy Chair of both the Windrush Advisory Panel and the Windrush Commemoration Committee.

Born in England, her grandmother thought best for her granddaughter, Paulette, to be raised in Jamaica and so she returned there as a child. Paulette Simpson attended primary school in both Mizpah and Christiana, before moving on to Manchester High School. As an undergraduate, she returned to the UK and studied at the University of Stirling in Scotland, where she earned a Bachelor of Art Degree in Business Studies (Finance and Marketing). She also later completed a MBA at the University of Westminster. Professionally, she began working at PriceWaterhouse, for a few years, in various positions. She was then recruited by the National Commercial Bank to establish and manage its London office. When the ownership changed in 2002, she was immediately snatched by, what was then, the Jamaica National Building Society. Since, she has worked as Executive, Corporate Affairs and Public Policy at JN representative office in the UK and provides strategic management support for The Voice Newspaper.

Paulette Simpson is considered to be a major player in improving the lives of Jamaicans in the UK and Jamaica, bridging and maintaining Jamaica's connection with its Diaspora. She is very active in the community and assists various charities with their work.

She was recognised twice as one of Britain’s most influential people of African and African-Caribbean heritage in the annual UK Powerlist published by Powerful Media in 2018 and 2019.

Paulette Simpson is also deputy chair of the Windrush Advisory Panel and the Windrush Commemoration Committee in the United Kingdom. As such, she has been honoured for services to the Caribbean community in the UK by Her Majesty Queen Elizabeth II and was conferred with the highest ranking order of Commander of the British Empire.

Click below to watch Paulette Simpson's interview conducted by Paul Muhammad, founder of the MoneyMob movement on the topic of "Supporting Black Businesses" in our Ujamaa series.

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