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The San People of Southern Africa

24 Août 2023 , Rédigé par www.afrocultureblog.com Publié dans #ancestral people, #africa, #ENG, #2023

Source: Sufi Path of Love

The San people, also called Bushmen, are the oldest inhabitants of southern Africa and belong to the oldest cultures on the planet. They are the ancestors of the peoples of East Asia, especially present-day China, see previous article below.

https://afrocultureblog.over-blog.com/2023/05/the-african-origins-of-china-the-genographic-project.html

The term San should be understood as a collective term for several ethnic groups in southern Africa. These groups include, for example, the Kung, Gui, Ju/'hoasi or the Naro tribe.The San lived in the vast expanse of the Kalahari Desert, between present-day Namibia, Botswana and South Africa. Living conditions are difficult. The domestication of animals, as the Khoi do, or agriculture, is not an option in this sandy region, which has made the Kalahari Desert a natural border for people who depend on livestock and crops. Following European colonization, the San tribes were forced into the northern depths of the desert in their fight against the Europeans armed with firearms. During this period, the number of San was greatly reduced and captured San were forced into slavery.

Source: web Kalahari desert

In essence, the San people are nomadic and do not stay long in one place. They travel in small family groups, including up to 25 men, women and children, carrying their shelter with them. They can also resort to caves found for protection.The diet of the San people includes meat, eggs, wild berries, roots, nuts and other plants.

Among gatherers and hunters, roles are shared. San women are responsible for gathering and San men for hunting. Vegetables harvested by women account for about 75% of their consumption. They rely on their in-depth knowledge of edible, medicinal and poisonous plants. This Indigenous knowledge is passed down from generation to generation. The fact that San women provide three times more food than San men is one of the reasons why women are treated as equals. San men are excellent hunters and use a wide variety of methods. Depending on the animal being tracked, the hunt can last from a few hours to several days – a physically demanding challenge. When laying traps, the San people use, among other things, pit traps. They dig a hole, for example, at a waterhole frequently used by hunted species, and cover it with branches. If an animal accidentally falls into the trap, it cannot escape and becomes easy prey. To catch smaller species, such as hares, a death trap, which tightens when an animal enters in, is formed from plant fibers.

Credit: Photograph: Michele Westmorland - a San hunter

The San people have a rich traditional culture – especially in the creation of eggshell jewelry, drawings, music, spirituality and wisdom. Using stones of different colors, the San People made cave paintings and sculptures of past things. The cave paintings show non-human beings, humans and hybrid creatures that are half-human, half-animal. They illustrate, for example, the speed of a hunt with a galloping movement or the common dances around the fire. Later, San rock art illustrated contact with European settlers by depicting sailing ships, European-style clothing, rifles, and cannons.

Another central element of San culture is music and dance. The particularly notable dance is a nocturnal and long-lasting trance, which is considered a vital healing remedy. During this trance experience, supernatural power is awakened, which cures diseases and benefits the group. In addition, medicinal plants known to the San are used to treat diseases.

San rock art

San jewelry

Maboneng, le Harlem de Johannesbourg

24 Août 2023 , Rédigé par www.afrocultureblog.com Publié dans #maboneng, #afrique, #2023, #FR, #afrique du sud

Maboneng, est un mot Sesotho signifiant « lieu de lumière » et un quartier de Johannesburg à côté du quartier central des affaires. En 2009, le fondateur de Propertuity, Jonathan Liebmann, a privatisé les quartiers est de Maboneng pour créer un quartier urbain gentrifié attrayant. Il a commencé à acquérir des bâtiments et à réaménager l’endroit. Maboneng est maintenant considéré par beaucoup comme le centre de l’énergie créative à Joburg avec un art de rue incroyable, un mélange de restaurants, cafés, boutiques de vêtements, galeries d’art, magasins et studios. Bien que ce réaménagement soit crédité , pour redonner vie à ce centre-ville, il faut dire que Maboneng avait déjà un riche héritage, en particulier pour la culture noire avant l’arrivée de Propertuity. C’est pourquoi nous l’avons surnommé « le Harlem de Johannesburg ».

Chancellor House Photo Credit: Jo Buitendach

À nos yeux, Maboneng est avant tout un site historique de la résistance noire contre l’apartheid. C’est par exemple, sur Fox Street, à quelques kilomètres du quartier de Maboneng, que Nelson Mandela et Oliver Tambo ont créé le premier cabinet d’avocats appartenant à des Noirs d’Afrique du Sud dans les années 1950. Il s’appelle maintenant Chancellor House et dispose d’un musée public extérieur.Comme l’explique le guitariste sud-africain Mpumelelo Mcata dans news24.com en 2021, le centre-ville, et en particulier les quartiers de l’Est qui sont devenus le « Lieu de lumière » de Liebmann, était en fait un site historique de la résistance noire : un lieu où la solidarité de la classe ouvrière noire de Johannesburg s’est forgée. Il déclare: « Doornfontein à la fin du 19ème siècle était « Millionaires Row », [...] Mais tout près, dans des complexes d’usines, des quartiers de domestiques, des travailleurs noirs vivaient. Ces travailleurs ont toujours été principalement des migrants, originaires de toute l’Afrique du Sud et australe, recrutés activement par la capitale, ou issus de zones rurales sous-développées. À l’aube du 20e siècle, les responsables municipaux ont noté une augmentation du nombre de résidences « mixtes » et de permis pour, à mesure que l’industrie se développait. Après la guerre des Boers, la rébellion de Rand de 1922 et l’effondrement de la valeur des propriétés de la Grande Dépression mondiale de 1929, les millionnaires se sont déplacés vers le nord et les spéculateurs ont acheté leurs grandes maisons et leurs jardins pour les subdiviser en minuscules chambres d’ouvriers pour la location formelle et informelle: ce qui est devenu connu sous le nom de « bidonvilles » de Doornfontein. [...] Mais les résidents noirs de Joburg affirmaient déjà leur droit à la ville: exigeant des logements décents, financés par la municipalité, proches de leur travail. Cette affirmation a fleuri dans les mouvements informels de masse, bien organisés et politiquement explicites dans les années qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale: « Sofasonke – nous mourons tous ensemble » était leur slogan », dirigé par James Sofasonke Panza, conduisant à la création de Soweto. Beaucoup de travailleurs noirs actifs dans ce mouvement étaient venus à Johannesburg lorsque la guerre a augmenté la demande de produits industriels. Doornfontein est devenu un endroit bondé d’industries légères. Linatex House – maintenant un centre de relogement de la ville – a commencé à ce moment-là, en tant que siège social d’un fabricant de fournitures minières. Certains résidents noirs se sont accrochés, mais les autorisations plus systématiques de l’apartheid après 1948 les ont brutalement déplacés vers les townships périphériques. Pourtant, les Noirs travaillaient toujours dans la ville – ils ont rendu son fonctionnement possible – et ont fait des efforts déterminés pour échapper aux restrictions et vivre plus près du travail. Avec la chute de l’apartheid, le désinvestissement blanc a dépouillé le centre d'affaires de nombreuses entreprises et des résidents plus riches. La fin des restrictions à la résidence a conduit un grand nombre de demandeurs d’emploi et de petits commerçants à revenir. Ils se sont installés officiellement là où ils pouvaient se le permettre, et de manière informelle là où ils ne pouvaient pas, comme souvent l’espace résidentiel était rare. Par conséquent, il n’est pas surprenant de trouver des lieux emblématiques tels que le bar Hide Out, où la légende raconte que l’espace a été utilisé comme refuge par Nelson Mandela et d’autres dirigeants de l’ANC pendant l’apartheid, ou de trouver un club de jazz nommé Pata Pata, d’après la chanson de la chanteuse sud-africaine et militante des droits civiques Miriam Makeba, lauréate d’un Grammy Award.

Pata Pata Maboneng

Le marché Kwai Mai Mai, l’un des plus anciens marchés de Joburg, également connu sous le nom d’Ezinyangeni, ou « le lieu des guérisseurs », est également situé à quelques pâtés de maisons du quartier de Maboneng. C’est depuis des décennies l’un des marchés de muthi (médecine traditionnelle) les plus établis de Johannesburg et également connu pour acheter de la nourriture de rue traditionnelle sud-africaine.

source: web

Enfin, ce hub créatif attire également une nouvelle génération de célébrités et de créatifs sud-africains tels que le DJ sud-africain, Black Coffee qui dispose d’un appartement penthouse dans le Hallmark House, un hôtel situé dans le quartier de Maboneng, ou encore le rappeur, producteur et entrepreneur Jay-Z qui, en 2019, a choisi le Hallmark Rooftop comme décor pour un pop-up de six semaines pour la marque D’Usse Cognac, avec Bacardi Limited incluant un menu brunch par l’un des meilleurs chefs de Joburg, Katlego Mlambo.

Donc, si vous êtes à la recherche d’une destination de vacances culturelles africaines, en voici une pour vous. Assurez-vous de découvrir Maboneng!

LONDON PAFF 2023 OFFICIAL SELECTION

24 Août 2023 , Rédigé par www.afrocultureblog.com Publié dans #2023, #cinema, #UK, #ENG, #festival, #nekundanlaba

Afrika Bizizi Distribution Ltd in partnership with Kongo Bizizi Academy, the Pan African film institute and the West Norwood Picturehouse, are excited to announce the London International Pan African Film Festival (LONDON PAFF) 2023 selections.

Among the Eighty films submitted, Forty-Four films have been selected representing twenty-three countries. The selections are across six categories which include the outstanding categories, Narrative Feature film, Narrative Short Film, Documentary Feature film, Animation and TV & Web series. Amid the twenty three countries participating in London PAFF 2023, we have: Angola, Australia, Belgium, Botswana, Brazil, Cape Verde, Central African Republic, Colombia, Cameroon, DR Congo, France, Germany, Jamaica, Morocco, Nigeria, Rwanda, South Africa, Spain, Togo, United Kingdom, United States, Zambia and Zimbabwe.

In addition, we have one invited/guest film, “Kingdom of Kongo: In Search of the Destroyed Kingdom”, produced and directed by Ne Kunda Nlaba.

This year, London PAFF will focus on Congo DRC and will screen films and exhibit artworks accordingly.

Founder Ne Kunda Nlaba says " London PAFF is that unique London event that helps us to learn and experience the life and culture of black and African people from all over the world through films".

The films will be screened at the festival from the 3rd to 8th October at West Norwood Picturehouse, London, SE27 9JU.

The London International Pan-African Film Festival (London PAFF) is an annual film event in the capital city of the United Kingdom that celebrates Pan-African cinema and screens films produced in Africa and the Diaspora (Europe, Caribbean countries, USA, Latina America), and from all over the world; founded by Ne Kunda Nlaba, Film Producer, Director, Screenwriter, and Political Scientist.

LA SÉLECTION OFFICIELLE DU LONDON PAFF 2023

24 Août 2023 , Rédigé par www.afrocultureblog.com Publié dans #2023, #cinema, #nekundanlaba, #FR, #festival, #londres

La société de distribution de films, Afrika Bizizi Distribution Ltd, en partenariat avec Kongo Bizizi Academy, l'Institut panafricain du film et le West Norwood Picturehouse, sont ravies d'annoncer la sélection du Festival international du film panafricain de Londres (LONDON PAFF 2023).

Parmi les quatre-vingt films soumis, quarante-quatre films ont été sélectionnés représentant vingt-trois pays. Les sélections sont réparties dans six catégories qui comprennent les catégories de long-métrage de fiction, court-métrage de fiction, long-métrage documentaire, animation et séries télévisées et Web.

Parmi les vingt-trois pays participant au London PAFF 2023, nous avons : l'Angola, l'Australie, la Belgique, le Botswana, le Brésil, le Cap-Vert, la République centrafricaine, la Colombie, le Cameroun, la R.D.Congo, la France, l'Allemagne, la Jamaïque, le Maroc, le Nigeria, le Rwanda, Afrique du Sud, Espagne, Togo, Royaume-Uni, États-Unis, Zambie et Zimbabwe. De plus, nous avons un film invité/invité, « Royaume Kongo, A la recherche du royaume détruit », produit et réalisé par le cinéaste Ne Kunda Nlaba.

Cette année, London PAFF consacre un focus au Congo RDC et dans la projection de films et l'exposition d'œuvres d'art sur le pays.

D’après Ne Kunda Nlaba, le fondateur du festival « London PAFF est cet événement unique à Londres qui nous aide à apprendre et à expérimenter la vie et la culture des Noirs et des Africains du monde entier à travers des films ».

Les films seront projetés au festival du 3 au 8 octobre au West Norwood Picturehouse, London, SE27 9JU.

Le Festival international du film panafricain de Londres (London PAFF) est un événement cinématographique annuel organisé dans la capitale du Royaume-Uni qui célèbre le cinéma panafricain et projette des films produits en Afrique et dans la diaspora (Europe, pays des Caraïbes, États-Unis, Amérique latine), et du monde entier ; fondé par Ne Kunda Nlaba, producteur, réalisateur de films, scénariste et politologue.